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Un dose et un fractionnement adaptés à la région

Les travaux réalisés par Gembloux Agro-Bio Tech, l’UCL, le Centre de Michamps asbl et le CRA-W entre 2011 et 2017 ont permis de définir les besoins azotés de l’épeautre. Ceux-ci sont spécifiques à la région d’implantation et peuvent être rencontrés en deux apports.

Grâce à l’analyse des essais réalisés par les différentes parties en région limoneuse et en région ardennaise, il est possible d’affirmer avec certitude que la fertilisation azotée de l’épeautre ne doit pas se calculer comme celle du froment. Il semble qu’aussi bien la dose totale que le schéma de fractionnement doivent être adaptés à chaque région.

La fumure conseillée pour la saison 2021

Les études pluriannuelles ont démontré l’importance des fractions de tallage et de redressement dans l’élaboration du rendement. De plus...

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Les Belges mangent de moins en moins de poires

Conso Les Belges mangent de moins en moins de poires et cette tendance se confirme depuis plusieurs années, regrette la coopérative belge BelOrta qui annonce lundi le lancement prochain d’une action visant à inciter les Belges à renouer avec un fruit qui est un fleuron national. La Belgique, et plus particulièrement le Hainaut, a en effet été considérée dès le 18e siècle comme le berceau de la poire moderne «fondante» ou «beurrée».
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