La généralisation en Europe des pratiques agroécologiques, permettant de réduire voire de supprimer l’usage de pesticides et engrais de synthèse, favoriserait la biodiversité, tout en améliorant la souveraineté alimentaire du continent, selon une étude du CNRS.
Pour y parvenir, trois leviers sont proposés. Le premier : une consommation moindre de produits animaux (sous les 30 % dans la diète moyenne contre plus de 50 % aujourd’hui), pour limiter l’élevage hors sol et supprimer les importations d’aliments pour le bétail. Le second : l’...
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