du cadre européen
L’esprit de Maastricht préservé
Un projet qui ne remet pas en cause les cibles du traité de Maastricht (un déficit des administrations publiques limité à 3 % du PIB national et une dette publique plafonnée à 60 % du PIB) mais qui doit permettre de libérer l’investissement notamment dans les transitions climatique et numérique et réduire la dépendance de l’UE vis-à-vis des hydrocarbures russes.
Les États membres devraient présenter des plans couvrant une période de quatre ans au cours de laquelle leurs finances publiques devraient se conformer à une trajectoire de réduction graduelle mais continue de la dette publique excessive ou, pour les pays faiblement endettés, maintenir une politique budgétaire prudente.
Ces plans devront faire l’objet d’un accord avec la Commission et être approuvés par le Conseil de l’UE.
