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Que nous apprend

cette 1ère mesure de l’activité

biologique des sols ?

Évaluer la fertilité des sols n’est pas trivial. Très souvent, on résume cela à une série de mesures physico-chimiques telles que le pH, la granulométrie (texture), la richesse en éléments nutritifs (P, K, etc.) ou le statut organique (teneur en carbone total). Cette approche a ses avantages car elle se base sur des procédures éprouvées et bien souvent standardisées, relativement rapides et stables dans le temps, disposant de valeurs

de références permettant une interprétation.

Si l’approche a des avantages, elle a aussi ses limites car elle ne relate qu’une vision partielle du sol. En effet, que serait un sol avec un bon statut chimique mais totalement compacté ou imperméable (fertilité physique), ou encore complètement stérilisé et débarrassé des organismes vivants qui y habitent (fertilité biologique). Si l’évaluation de la fertilité physique des sols est aujourd’hui relativement bien documentée, même si elle ne se fait pas toujours en routine, il n’en est pas de même pour l’évaluation de leur fertilité...

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