d’évolutions substantielles des coûts.
Les fermes maraîchères restent dépendantes d’achats énergétiques pour produire en plein air et sous serre, protéger les cultures (désherbages, soins…), conserver les légumes avant leur commercialisation et ensuite pour les transporter.
Au niveau de la production d’abord, l’irrigation a besoin d’énergie pour fonctionner. Des études françaises (Chambre d’agriculture du Grand Est) ont permis d’estimer qu’il fallait prévoir 1 kWh par m³ d’eau amenée via un enrouleur, 0,5 kWh par m³ pour l’emploi de rampes ou d’irrigation basse tension et 0,3 kWh pour l...
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