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Un nouveau souffle pour

le bachelier agronome

La Heph-Condorcet, située au cœur du Hainaut, propose une formation diversifiée via son département agrobiosciences et chimie. Ce département s’adresse tant aux jeunes diplômés du secondaire et aux étudiants en réorientation qu’aux professionnels souhaitant évoluer.

Temps de lecture : 2 min

À Ath, en trois ans, le bachelier agronome offre des spécialisations en horticulture, productions animales et végétales, environnement, nature et forêt, agronomie des régions chaudes, biotechnologies et ressources alimentaires. Le bachelier en chimie forme, lui, des techniciens de laboratoire pour divers secteurs, incluant la santé et la chimie verte.

En cinq ans, il y a les masters en sciences de l’ingénieur industriel en agronomie ou en biochimie. Soit une spécialisation avancée pour divers métiers liés à la gestion d’exploitations, la recherche, le conseil, l’environnement et la santé animale et humaine.

Le certificat en sciences de la vigne et du vin, proposé à horaire décalé, est destiné aux professionnels.

Plus de labos et d’ateliers pratiques

Le bachelier agronome se réinvente avec un nouveau programme axé sur les biotechnologies et les ressources alimentaires, remplaçant l’option agro-industries et biotechnologies. Les étudiants bénéficient de plus d’heures de laboratoire et d’ateliers pratiques, incluant la fermentation et la fabrication de produits alimentaires. Un partenariat avec la ferme expérimentale à Ath permet la fabrication de fromages. Des modules en innovation, analyse sensorielle et gestion de la qualité alimentaire complètent la formation. Le programme inclut la microbiologie, la culture in vitro et le génie génétique, préparant aux défis professionnels.

Un stage d’insertion socio-professionnelle dès la 2e année renforce l’immersion sur le terrain. L’accès à la phytolicence demeure un atout dans ce cursus enrichi, pratique et innovant, répondant aux besoins du secteur agro-alimentaire.

La Une

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Economie Le Danemark a pris le relais, le 1er juillet dernier, de la Pologne à la présidence tournante du conseil de l’UE. Dans un contexte de fortes attentes du monde agricole, d’inquiétudes liées au changement climatique et de débats croissants sur la souveraineté alimentaire, le pays nordique entend impulser une dynamique nouvelle. Son programme, que nous avons parcouru, trace les contours d’une politique agricole à la fois simplifiée, verte, compétitive et innovante.
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