Sans être « accro » des réseaux sociaux, je sais que les « influenceurs » sont dans l’air du temps. Mais ne l’ont-ils pas toujours été, en changeant de forme sans beaucoup modifier les motivations : l’intérêt financier, le pouvoir et, plus souvent qu’on ne l’imagine, la force des convictions. L’usage de la peur est souvent le ressort de l’argumentation.
Avant l’existence des réseaux sociaux, nous avons connu les « chaires de vérité » actives tous les dimanches. La peur de l’enfer n’était jamais loin...
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