Accueil Cultures

Quel avenir pour les phyto en Belgique?

Si de nombreuses mesures visent à limiter les risques liés à l’usage de produits phytosanitaires, l’évaluation des matières actives devient plus stricte, entraînant davantage de retraits que d’homologations. Pour concilier disponibilité des phyto et réduction de leurs impacts sur la santé et l’environnement, deux pistes émergent : favoriser l’accès aux moyens de protection à faible risque et préserver les solutions existantes en les couplant à une application ciblée.

Mi-novembre, le Service public fédéral (Spf) Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement a tenu sa traditionnelle session d’information et de discussion sur les produits pharmaceutiques. L’occasion pour Maarten Trybou, chef du service produits phytopharmaceutiques et engrais, de livrer la réflexion des autorités fédérales quant à l’avenir des produits de protection des plantes et ce, dans un contexte de moindre disponibilité des matières actives.

Protéger...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

A lire aussi en Cultures

Produits phytosanitaires: une réduction minimale de la dérive de 75% dès le 1er janvier 2026

Cultures À partir du 1er janvier 2026, un pourcentage minimum de réduction de la dérive de 75 % sera obligatoire pour l’application de produits phytosanitaire en Belgique. Le 8 août dernier, le Spf Santé publique a actualisé la liste des moyens et mesures de réduction de la dérive utilisables en Belgique. Parmi les nouveautés, les buses à assistance d’air, et de nouvelles solutions permettant d’atteindre 90 % de réduction en arboriculture et en culture de houblon.
Voir plus d'articles