Des serres aux cimetières : le parcours des chrysanthèmes de la Toussaint











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Les journées sont grises avec des températures de saison, c’est l’automne. Le colza d’hiver continue à se développer. Les champs sont soit très réguliers, soit irréguliers avec des stades différents des plantes. Peu de soleil mais une présence d’insectes variable selon les champs.

La majorité des escourgeons est désormais semée. Les premières parcelles, implantées fin septembre, atteignent actuellement le stade début de tallage (BBCH 21), tandis que celles semées plus tardivement entrent progressivement en phase de levée.

La dessication du grain se poursuit, aidée par des conditions climatiques favorables. Et ce, d’autant que l’état sanitaire des variétés recommandées reste satisfaisant au niveau des épis.

Les conditions météorologiques rencontrées, particulièrement sèches, et la précocité des récoltes ont très largement freiné, voire bloqué, le potentiel développement des mycotoxines.

L’approvisionnement en eau constitue l’un des points techniques les plus importants pour les cultures maraîchères, qui ont en besoin pour assurer leur croissance rapide. Les plantes repiquées possèdent un enracinement plus superficiel, incapable d’explorer les réserves hydriques profondes du profil de sol. Et sous abri, les cultures dépendent entièrement des apports par irrigation.







Le type de céréales, la parcelle et les conditions de semis sont autant de paramètres à prendre en compte pour raisonner le désherbage à l’automne. François Henriet dispense ses recommandations en la matière dans le Livre Blanc de septembre 2025.

Les estimations de vendanges 2025 en France ont été revues à la baisse pour atteindre un volume comparable à celui déjà faible de 2024, du fait notamment de l’impact de la canicule du mois d’août, a indiqué mardi le ministère de l’Agriculture.

Dans les conditions sèches actuellement rencontrées, il convient de prendre le plus grand soin des tubercules. Et ce, pour éviter les coups bleus et autres endommagements.

Au sein d’une agriculture européenne en quête de sens et d’équilibre, la filière banane de Guadeloupe et de Martinique apparaît comme un exemple à la fois vertueux et menacé. Pionnière en matière de transition agroécologique, elle illustre aussi les contradictions d’un modèle agricole soumis à des impératifs environnementaux croissants, sans accompagnement économique à la hauteur. C’est ce qu’explique Agathe Huart, directrice générale du groupe Castri, acteur clef de la filière bananière aux Antilles.

Les conditions climatiques généralement bonnes de la semaine dernière ont permis une augmentation de la teneur en matière sèche du maïs fourrage de l’ordre de 2 à 3 % en Ardenne.
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