«La bioéconomie doit être une priorité stratégique»
Alors que l’UE cherche à conjuguer transition écologique, souveraineté énergétique et relance industrielle, la bioéconomie s’impose comme un levier clef. L’eurodéputée française Céline Imart défend une approche intégrée et offensive. Elle fixe trois conditions politiques pour enclencher cette transition.

Longtemps considérée comme un concept marginal, la bioéconomie s’impose aujourd’hui comme un pilier potentiel des politiques de transition de l’UE.
En valorisant les ressources biologiques renouvelables, cultures à fibre, résidus agricoles, biomasse, elle ouvre la voie à une production plus durable dans des secteurs aussi variés que l’énergie, les matériaux de construction, le textile ou encore les biocarburants. Elle se veut une réponse transversale aux crises climatique, énergétique et agricole...
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