Accueil Bovins

Le numérique, un outil pour se démarquer et se réapproprier la valeur ajoutée

Informaticien, éleveur, community manager… Henri Louvigny a plusieurs casquettes. Son ouverture au numérique l’a récemment amené à repenser sa manière de produire mais aussi de se différencier. Henri veut commercialiser sa viande, comme un vigneron commercialise son vin. Cap sur la Ferme Louvigny.

Quand Henri Louvigny nous accueille dans son exploitation, il se plaît à rappeler que l’élevage est une histoire de famille et ce depuis 7 générations. C’est fin des années ‘90 que l’exploitation, alors au main de son père, passe du conventionnel au bio. Une transition qui se marque par l’abandon du cheptel Blanc-bleu au profit d’abord de la Blonde d’Aquitaine, rapidement remplacée par la Limousine. Quant à Henri, s’il a toujours été baigné dans l’agriculture, il s’en éloignera de par ses études en informatique qu’il étudiera, à Liège d’...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

A lire aussi en Bovins

Pas moins de 13 races de bovins différentes représentées à l’Élevage du fond du Puits!

Bovins Se rendre à l’Élevage au fond du Puits, c’est un peu comme entreprendre un tour du monde dédié aux bovins. Pourtant, c’est bel et bien à Ottignies-Louvain-la-Neuve que Frédéric Dumont élève sa septantaine de vaches, taureaux et veaux confondus. Des animaux rares et surtout très originaux puisqu’il possède pas moins de 13 races différentes, des plus connues comme la Highland, au plus spéciales, comme la Dahomey, originaire du Bénin.
Voir plus d'articles