Soutenir l’ingestion au tarissement pour maximaliser la consommation de la ration après le vêlage
Dans le cadre du projet de recherche « Les acides gras et autres métabolites du sang et du lait comme aides au management de l’alimentation et de la reproduction chez la vache laitière haute productrice », une journée d’études était organisée à Huy, par le service de Nutrition de la faculté de médecine vétérinaire (ULg), le CTA de Strée, le Spw et Élevéo, sur le thème du métabolisme énergétique de la vache laitière autour du vêlage. Emilie Knapp, vétérinaire ayant précédemment collaboré à ce projet, s’est exprimée sur les conséquences d’une alimentation excédentaire au tarissement.
Les 30 premiers jours en lactation chez la vache laitière sont généralement fortement liés aux 30 derniers jours de gestation, de tarissement, explique Emilie Knapp, vétérinaire. « C’est à ce moment que tout se prépare : la mamelle, le colostrum… tout le métabolisme de la haute productrice se met alors en route ! »
Entre la fin de tarissement et le vêlage, une laitière doit pouvoir gérer conjointement trois problèmes : la gestion de la balance énergétique négative et de la...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique