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Diminuer son cheptel laitier pour gagner en stabilité

Réduire la pénibilité du travail en élevage peut passer par bien diverses formes: raisonner les investissements, la taille du cheptel, déléguer les travaux agricoles, privilégier le pâturages... Vincent Schyns, un éleveur de Bilstain, est de ceux qui ont pris le parti d’adapter leur exploitation à la main d’œuvre et aux terrains disponibles. Retour sur quelques réflexions qui lui ont permis de gagner en autonomie et en qualité de travail.

Si la famille Schyns s’échine à produire du lait au pâturage depuis le milieu des années 50, Vincent est arrivé sur l’exploitation en tant qu’aidant en 1999 pour s’associer à son père en 2002. À ce moment l’exploitation dispose de 65 vaches sur 45 ha de prairies et produit près de 400.000 l à l’année. Depuis Vincent et son père n’ont eu de cesse de valoriser leurs herbages, de jour comme de nuit, tout en rationalisant leurs coûts.

Et si l’exploitation dispose d’une des premières stabulations libres (...

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