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Très léger recul du nombre de visiteurs

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La 77e édition du Mondial des fournisseurs de l’agriculture et de l’élevage (Sima) a refermé ses portes le 2 mars dernier après avoir accueilli 232.000 visiteurs, dont 23 % d’internationaux, durant cinq jours. Par rapport à l’édition 2015, le nombre d’entrées accuse un recul de 3 %. 1.770 entreprises en provenance de 42 pays étaient également présentes.

Malgré le contexte actuel difficile, les professionnels du monde agricole s’étaient donné rendez-vous à Paris avec la volonté d’envisager l’avenir de façon réaliste et optimiste. Le pari semble réussi. Ainsi, Yoann Marchand, responsable communication et promotion des ventes de Massey Ferguson France, a noté « un climat satisfaisant, inattendu en cette période compliquée, et un visitorat aux profils et aux projets intéressants, en quête de solutions technologiques ».

Avec la thématique « Être agriculteur dans 10 ans », le Sima a proposé de nouveaux rendez-vous tel que le Village Start-up. Celui-ci regroupait des jeunes sociétés présentant des solutions en phase avec un secteur agricole en pleine mutation. Les différents ateliers (les objets connectés, la distribution agricole de demain…) qui y étaient proposés ont été plébiscités par le public.

Deux autres événements ont vu le jour en 2017. D’une part, le Sima Dealer’s Day-ting visant à faciliter les rendez-vous entre exposants et concessionnaires du monde entier. D’autre part, le Sima African Summit, qui a réuni professionnels du monde agricole, exposants, institutionnels et opérateurs privés africains. Tous deux sont d’ores et déjà reconduits pour l’édition.

Quant au Simagena, véritable vitrine de l’innovation en génétique, il a une nouvelle fois été le lieu de rencontres et de business des filières bovines française et internationale, entre ventes aux enchères et concours.

La Une

Pommes de terre dans la zone NEPG: des prix plus élevés, une demande en hausse, mais attentions aux déséquilibres!

pommes de terre La baisse de la production de pommes de terre (saison 2022) dans l’ensemble de la zone NEPG et le faible effet de l’inflation ont jusqu’à présent conduit à des prix sur le marché libre raisonnablement bons pour les producteurs. La hausse des prix des contrats et les risques supplémentaires liés à la production de pommes de terre ont déjà entraîné et entraîneront différentes conséquences pour l’ensemble du secteur de la pomme de terre, des producteurs de plants jusqu’à la grande distribution et les consommateurs.
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