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Comment réaliser greffages

et surgreffages sur les fruitiers ?

La grande majorité des arbres fruitiers sont multipliés par greffage sur une plante qui appartient le plus souvent à la même espèce botanique, mais qui peut aussi être d’une autre espèce, voire d’un autre genre. Ainsi, les pêchers cultivés en Belgique sont souvent greffés sur des pruniers, et les poiriers à conduire en basse-tige sont greffés sur des cognassiers.

Le greffage est pratiqué depuis l’Antiquité, par exemple en Mésopotamie et en Grèce ; il est aussi mentionné en Chine 2.000 ans avant notre ère. On suppose que ces pratiques résultent de l’observation dans la nature, où des greffages spontanés de tiges ou de racines en approche ne sont pas rares.

Au début de notre ère, les relations entre un sujet porte-greffe et un greffon sont connues, et différentes méthodes de greffage sont en usage. Les techniques de greffage ont connu un développement considérable au XVIe et au XVIIe...

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À la découverte de deux fermes indiennes: «Sur 3 ha, 60 espèces travaillent ensemble et en harmonie»

Cultures Partout dans le monde, des agriculteurs innovent, mettent en place de nouveaux systèmes de production… et partagent leurs expériences. C’est le cas en Inde également, où nous avons rencontré Rajdeep, un fermier qui a récemment abandonné l’agriculture conventionnelle pour se tourner vers un « modèle à cinq couches » faisant cohabiter 60 cultures sur 3 ha. Un peu plus loin, Vanita Farm produit des orchidées pour l’ensemble du pays avec succès grâce à un secret « maison ». En voyage !
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