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Pas aisée, la maîtrise non chimique des mauvaises herbes

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Plusieurs paramètres concourent à la difficulté d’une maîtrise non chimique des adventices :

– dans une parcelle, les mauvaises herbes à combattre ne sont jamais uniformes ; la flore adventice comporte des espèces et des populations diverses, très variables d’une parcelle à l’autre mais aussi au cours du temps et capables d’évoluer rapidement ;

– les prédateurs naturels sont des insectes, des champignons, des virus, qui sont rarement suffisamment destructeurs et pas toujours spécifiques ;

– l’influence des adventices est pluriannuelle et peut être exponentielle ; en effet, les semences (coquelicot : 50.000 graines/plant), les organes de multiplication végétative (une plante de chiendent peur coloniser 3,3 m2 par ha et par an) sont de nature à assurer leur reproduction. Sans une maîtrise correcte, certaines situations peuvent rapidement devenir ingérables.

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