Après avoir maintenu une relative stabilité pendant deux mois, entre une offre mondiale abondante et une demande dynamique, les cours des céréales, et dans une moindre mesure des tourteaux, ont reculé en mars sous le poids de réévaluation à la hausse des récoltes.
Sur les deux premiers mois de l’année 2017, les cours du blé et du maïs sont restés stables, malgré une demande dynamique. Le Maroc, l’Algérie, l’Egypte, la Jordanie, l’Indonésie et même l’Inde, devenue importatrice nette suite à de mauvaises récoltes, ont procédé à des achats plus ou moins importants de blé. La baisse de l’euro face au dollar...
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Voix de la terre
Quand on demande à l’intelligence artificielle ses perspectives pour notre approvisionnement, elle répond qu’en matière de carburants, un scénario réaliste est qu’entre 2025 et 2040, les prix explosent et des pénuries apparaissent et que le confort dépend directement d’un approvisionnement que l’on ne maîtrise pas.