Le grand rendez-vous international de l’élevage français et européen, qui s’est tenu début octobre dans la capitale historique de l’Auvergne, a connu un climat relativement apaisé, du fait de marchés plutôt haussiers et dans l’attente de la fin de la première phase des États généraux de l’alimentation organisé à l’initiative du président Macron.
Le président de la Fédération française bovine, Bruno Dufayet, évoquait d’ailleurs, la veille de l’ouverture de cet événement majeur organisé à Clermont-Ferrand, « la réouverture depuis 15 jours des marchés du vif vers l’Algérie et la Turquie », ce qui aura probablement tendance à tirer les prix du broutard vers le haut. Une bonne...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
ConsoLes Belges mangent de moins en moins de poires et cette tendance se confirme depuis plusieurs années, regrette la coopérative belge BelOrta qui annonce lundi le lancement prochain d’une action visant à inciter les Belges à renouer avec un fruit qui est un fleuron national. La Belgique, et plus particulièrement le Hainaut, a en effet été considérée dès le 18e siècle comme le berceau de la poire moderne «fondante» ou «beurrée».