Travaillant dans le monde des assurances, je me permets de mettre en garde les agriculteurs sur les dangers de débrider un tracteur, de sorte que sa vitesse maximale dépasse les 44 km/h autorisés (plus exactement, 40 km/h auxquels s’ajoute une latitude de 10 %).
En pareille situation, le tracteur ne peut plus être considéré comme agricole, tout en étant facilement repérable par sa plaque minéralogique spécifique !
Son propriétaire devrait donc logiquement l’équiper d’un « obu » comme les camions, avec la taxation y afférente, voire...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique