Sous des températures maximales très largement supérieures aux normales saisonnières, nous avons vécu le week-end dernier à l’heure estivale. Le déficit hydrique aura incontestablement été l’un des faits marquants, cette année, puisqu’on en subit encore des répliques en cette mi-octobre. Pour preuve, cet apport d’eau en champ de carottes, dimanche « pour faciliter l’arrachage et la conservation en caisses, avec un peu de terre adhérente. »
M. de N.