Les niveaux de stocks attendus sont ceux d’un marché assaini, après une baisse inédite des surfaces de production pendant trois années consécutives, précise-t-elle. Et de tabler sur des rendements proches des objectifs en France et plus largement dans l’UE, malgré quelques accidents en Europe centrale liés à la sécheresse et aux fortes températures. La production est jugée correcte en Ukraine, sans doute au-delà des objectifs en Russie. Des prévisions en phase avec l’objectif de rééquilibrage des stocks, qui sera atteint, affirme la Fnpsms. Et d’expliquer cette situation par la baisse des surfaces de production de semences (-40 % en trois ans dans l’UE), des déclassements physiques « historiquement hauts » portant sur les variétés les plus anciennes, des marchés prévus « stables » en Europe de l’Ouest, après deux années de baisse, et « toujours dynamiques » en Europe centrale et de l’Est.
