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L’ébourgeonnage des jeunes caprins nécessite de suivre certaines règles pour être réussi et sans douleur pour l’animal

« Si les cornes sont des éléments naturels de défense, leur présence dans les troupeaux caprins n’est pas sans risque. L’ébourgeonnage des jeunes caprins limite non seulement les risques de blessure entre animaux, mais facilite aussi leur accès à l’alimentation et le travail de l’éleveur. Toutefois, l’intervention nécessite le respect de certaines règles afin qu’elle soit réussie et sans douleur pour l’animal », a ainsi débuté Béatrice Mounaix, de l’Institut de l’Élevage, dans le cadre d’une conférence sur le sujet au Space, en septembre dernier.

«  Bien ébourgeonner les jeunes caprins, c’est s’assurer de travailler dans les meilleures conditions, pour l’éleveur comme pour l’animal. »

Mme Mounaix : « Cette pratique a beau avoir du sens, elle reste douloureuse. Raison pour laquelle il existe un guide des bonnes pratiques qui préconise 6 grands points à respecter. »

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