Le site de Rochefort souffre économiquement du scandale sanitaire. L’entreprise a en effet perdu 90 % de ses clients, principalement des grandes surfaces, depuis l’apparition de l’affaire. Elle a donc été contrainte d’effectuer une demande de chômage économique auprès de l’Onem, qui l’a octroyée à partir du 15 mars dernier.
Les repreneurs peuvent ainsi racheter l’ensemble des sites ou une partie seulement. Les candidats avaient jusqu’à mercredi minuit pour remettre une « offre non-liante » afin de marquer leur intérêt. Au moment d’écrire ces lignes, aucune information officielle n’avait été exprimée à ce sujet, mais le chiffre de 5 repreneurs intéressés, dont 2 Wallons, était évoqué.