Accueil Archive

Tirer le meilleur du troupeau et des cultures

pour équilibrer les revenus

L’herbe n’est pas plus verte en France qu’en Belgique… Du moins, c’est qu’il ressort de l’histoire de Jean-Charles et Didier Blanckaert. Si leurs grands-parents, originaires de Wallonie, ont pu y développer leurs activités, la situation actuelle est plus compliquée pour les deux frères. Les prix actuels, notamment du lait, impacte la rentabilité

de leur exploitation.

Trouver le bonheur en France semblait encore possible voici plusieurs générations. Ainsi, les grands-parents de Jean-Charles et Didier s’y sont installés, en vue d’exercer leur métier d’agriculteur. Les deux frères ont, quant à eux, pris la succession de leur mère. « La taille du troupeau laitier avait entre-temps quadruplé, grâce à nos parents », précisent-ils. Tous deux sont aujourd’hui à la tête d’une exploitation de polyculture-élevage de 160 ha s’étendant sur la commune de Saint-Hilaire-au-Temple et ses environs, dans...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique

La Une

Les Belges mangent de moins en moins de poires

Conso Les Belges mangent de moins en moins de poires et cette tendance se confirme depuis plusieurs années, regrette la coopérative belge BelOrta qui annonce lundi le lancement prochain d’une action visant à inciter les Belges à renouer avec un fruit qui est un fleuron national. La Belgique, et plus particulièrement le Hainaut, a en effet été considérée dès le 18e siècle comme le berceau de la poire moderne «fondante» ou «beurrée».
Voir plus d'articles
Le choix des lecteurs