12,6 milliards d’euros.
Ce chiffre inclut les pertes directes de revenu (146 dollars par animal en moyenne) et les pertes économiques (216 dollars par tête).
Pour parvenir à ce résultat, les analystes ont calculé l’effet attendu sur les prix et la valeur comptable du cheptel détenu (pour les naisseurs). « Les impacts du Covid-19 ont été ressentis dans chaque secteur de l’industrie bovine et devraient continuer à l’être courant 2020 », conclut cette étude. L’essentiel des pertes (environ 60 % du total) concerne les éleveurs naisseurs, qui cumulent baisse des prix et de la valeur de leurs animaux. Le reste est réparti entre les engraisseurs, qu’ils fonctionnent en système feedlot (22 % des pertes) ou non (18 %).
« À l’heure actuelle, le Covid-19 n’affecte pas matériellement les projections de production totale de bœuf en 2020 », estiment le NBCA et l’université de l’Oklahoma. L’étude se base sur des chiffres du 8 avril.











