
Seriez-vous en train de me lire si je n’avais pas utilisé ce mot, cette matière active dans mon titre ? Le pouvoir accrocheur de cette molécule ou encore des mots tels qu’« alternative » ou « bio-pesticide » semble être bien connu d’une certaine start-up gembloutoise qui l’utilise à foison pour attirer l’œil et les budgets.
« Découverte majeure pour l’environnement : trois solutions à base d’huiles essentielle viennent d’être développées par des chercheurs gembloutois pour remplacer le glyphosate ». Lobbies ou...
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