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Le virus s’en va, le vil Russe s’en vient

Avant -mais c’était avant…-la guerre déclenchée par Poutine, le mot « Ukraine » était indissociablement lié à ses « terres noires » les plus fertiles du monde. Voir ce paradis agricole labouré par les chars russes et rougi par le sang des victimes est un vrai crève-cœur. Les conflits guerriers n’amènent jamais rien de bon : des souffrances incommensurables, des destructions, des pollutions, un gaspillage insensé de ressources et d’énergie, à l’heure où le dérèglement climatique menace l’humanité toute entière.

Voici deux ans, le Covid-19 lançait son offensive sournoise sur l’Europe et le monde. Au début, personne n’y croyait réellement et s’en souciait comme d’une simple grippe, puis il fallut rapidement déchanter et subir les affres d’une pandémie absolument inattendue autant que cauchemardesque. Aujourd’hui, le coronavirus semble battre en retraite, remplacé hélas par une menace d’une toute autre nature : le vil Russe Poutine ! Zut, on pensait la hache de la Guerre Froide enterrée bien profond, sous un épais labour de traités internationaux… Que nenni ! Jusqu’à ce jeudi 24...

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Voix de la terre Il y a trois ans, un homme m’a dit un jour que « les agriculteurs, qu’il fasse beau ou mauvais, n’arrêtaient pas de se plaindre   ». Cette remarque m’avait marquée tant son jugement je le trouvais dur. Peut-être même qu’il n’est pas le seul à le penser ? Trois ans que j’ai cette remarque en tête et trois mois que j’ai envie de lui répondre. Ça fait long, me direz-vous, il y a prescription ! Ce n’est pas grave, laissez-moi vous raconter une histoire.
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