Au sein de cette zone, des mesures spécifiques viennent s’ajouter à celles déjà prises sur l’ensemble du territoire wallon. Elles concernent notamment le taux de liaison au sol, les périodes et conditions d’épandage, les obligations de couverture des sols et le suivi de l’azote potentiellement lessivable (lire par ailleurs).
De son côté, Pierre Luxen observe que cette zone vulnérable s’étend au fur et à mesure des révisions du PGDA. « Il y a une volonté, à terme, de faire de l’entièreté de la Wallonie une zone vulnérable et, par conséquent, d’y appliquer les mesures spécifiques supplémentaires », constate-t-il.
