une reforme du bail à ferme est nécessaire
Sous le régime actuel, le coût des terres en propriété est démesuré et l’accès au marché locatif, perverti, est fermé. La terre disponible sert le plus souvent à l’agrandissement des fermes existantes plutôt qu’au démarrage de nouveaux projets agricoles, tendance qu’il faut inverser d’urgence.
En trente ans, la Belgique a perdu 68 % de ses exploitations agricoles. En corollaire, la superficie moyenne des exploitations a presque triplé sur la même période. Cette forte concentration des terres résulte notamment du modèle agricole...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique
