« Pour perdurer, le Brussels Livesstock Show doit changer de modèle », clame Jean Devillers, son président (lire notre édition du 8 décembre). Outre les problèmes de financement (coût de la paille, des bâtiments, du personnel…), se pose la question de la fréquentation. En effet, le nombre d’éleveurs et d’animaux présents diminue d’année en année.
« Nous avons la volonté de maintenir la présence animale à Bruxelles, mais sous quelle forme ? », s’interroge-t-il. Un partenariat public-privé est une des solutions évoquées pour atteindre...
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