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Réduire les besoins en antibiotiques

par l’adaptation de la conduite d’élevage

Les législations vont actuellement dans la direction d’une diminution drastique des antibiotiques. Les animaux, eux, ne s’en soucient guère et ont besoin d’être soignés quand ils tombent malades. Alors pour moins les soigner, l’idéal n’est-il pas de leur éviter la maladie ? « Mieux vaut prévenir que guérir », dit le dicton populaire. Les visites organisées dans le cadre du plan Altibiotique ont pour objectif de trouver les points d’adaptation à apporter dans l’élevage pour y parvenir.

Pierre Herman est éleveur à Anthisnes. S’il a rejoint le projet Altibiotique, c’est parce qu’il s’inquiétait du nombre de veaux qui tombaient malades sur son exploitation. « On devait soigner des veaux tous les jours, et je ne trouve pas ça normal. », raconte-t-il. « Je me suis demandé s’il n’y avait pas des améliorations générales, et pas nécessairement sanitaires, à apporter. J’ai donc contacté l’Arsia pour programmer une visite dans mon exploitation. »

François Claine, responsable du projet, contextualise...

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