par l’adaptation de la conduite d’élevage
Pierre Herman est éleveur à Anthisnes. S’il a rejoint le projet Altibiotique, c’est parce qu’il s’inquiétait du nombre de veaux qui tombaient malades sur son exploitation. « On devait soigner des veaux tous les jours, et je ne trouve pas ça normal. », raconte-t-il. « Je me suis demandé s’il n’y avait pas des améliorations générales, et pas nécessairement sanitaires, à apporter. J’ai donc contacté l’Arsia pour programmer une visite dans mon exploitation. »
François Claine, responsable du projet, contextualise...
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