
Si la Wallonie comptait encore environ 90 débardeurs au cheval il y a une dizaine d’années, ils ne sont désormais plus qu’une trentaine à exercer ce métier à titre principal. Et les occasions de sortir les chevaux de trait entre les alignements d’arbres sont de plus en plus rares. « Nous assistons à la mort lente d’une profession et d’un savoir-faire unique au monde », se désole Martial Wuyts, administrateur et vice-président du CECT.
L’explication de cette agonie de la profession réside notamment, selon le CECT, dans le...
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