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« Pour les filles, c’est l’inconnu »

Temps de lecture : 2 min

Julien a 26 et cultive des légumes qu’il vend à la ferme, sous forme de panier hebdomadaire ou encore par l’intermédiaire de groupements d’achat ou de ses collègues agriculteurs. L’Adlp, un ami l’y a inscrit et il s’est dit pourquoi pas ?

L’expérience a-t-elle été concluante ?

Tout à fait, si c’était à refaire, je le refais, ne fût-ce que pour l’ambiance. Je n’y ai vu aucun inconvénient. Et puis, c’est assez sympa de voir débarquer Sandrine à la ferme. C’est vraiment la même personne à l’écran et en réalité. Elle ne fait pas du tout sa star.

Accueillir une équipe de tournage et des prétendantes, c’est compliqué ?

Pas vraiment… On est sans doute plus sûr de ce qu’on dit quand les caméras ne sont plus là mais, après quelque temps, on n’y fait plus attention. C’est plus difficile pour les filles que pour nous. On a déjà été confrontés aux caméras pour les portraits et on est dans notre environnement habituel. Pour elle, c’est l’inconnu. Ce qui est plus compliqué pour moi, ce sont les choix à poser car, après quelques jours, il y a une certaine amitié qui s’est installée. Les prétendantes et les candidats savent que c’est le jeu mais, pour moi, ça n’a pas toujours été évident de choisir.

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