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Activités et découvertes

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Le grand quiz des sciences Défis cobayes : 250 questions ludiques pour tester ses connaissances scientifiques dans tous les domaines (physique, chimie, etc.) et s’amuser en famille avec les Défis cobayes et devenir de vrais savants fous ! coffret Larousse, 44 pages.

Trompissime : un cherche-et-trouve éléphantesque : Boucle ton sac, c’est parti ! Des gratte-ciel de New York à la jungle amazonienne, de l’Opéra de Sydney aux pyramides d’Égypte, suis le périple de cinq éléphants globe-trotters. Dans des paysages fourmillant de vie, le jeune lecteur va devoir repérer ses amis, leurs affaires personnelles et une foule d’autres détails, il apprendra au passage nombre d’anecdotes sur l’architecture, la gastronomie et les activités de ces étapes fabuleuses. Un cherche-et-trouve instructif et follement drôle qui te fera courir sur tous les continents. Ouvre l’œil ! un très grand album de jeu et d’activités pour jouer et découvrir le monde en suivant une drôle de bande d’éléphants globe-trotteurs. À partir de 6 ans. Par Guillaume Cornet, De La Martinière jeunesse, 40 pages.

Océan – découpes et animations pour explorer le monde marin : un album de toute beauté, enrichi de découpes laser et de rabats, pour découvrir les océans dans tous leurs états. Après une présentation des océans, de leur faune et une explication du cycle de l’eau, le lecteur part à la découverte de ces immensités, du rivage aux abysses. Il découvre la marée et les coquillages, la naissance d’une vague, le théâtre corallien, la chaîne alimentaire, les fumeurs noirs, les animaux bioluminescents… Puis remonte à la surface pour croiser un iceberg des océans polaires avant de s’intéresser au réchauffement climatique. Les textes savent se faire précis et accessibles. Dès 7 ans. Par Emmanuelle Grundmann, De La Martinière jeunesse, 40 pages.

La Une

Conseil des ministres de l’Agriculture à Luxembourg : les États membres veulent aller encore plus loin

Economie Moins médiatique que le conseil informel à Genk un peu plus tôt, la réunion des ministres européens de l’Agriculture du 29 avril dernier à Luxembourg, quatrième sous présidence belge, revêtait pourtant une importance certaine. Il s’agissait en effet de mettre en œuvre les réponses décidées dans le cadre de la crise agricole. Mais pas que. Il a été question de pratiques commerciales déloyales, de plans stratégiques ainsi que de la révision du plafond des aides de minimis que chaque pays peut accorder à ses agriculteurs sans avoir à en référer à la commission.
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