La salle était presque pleine. Il faut vraiment féliciter Édouard Bergeon pour son professionnalisme en cinéma comme en agriculture, mais aussi pour avoir surmonté la tragédie personnelle qu’il a vécue. Il a pu montrer au public la détresse de certains pans de l’agriculture confrontée à la mondialisation.
Le citoyen veut du bio mais au prix du bas de gamme. Ce n’est pas le Mercosur qui va arranger les affaires.
Dans la présentation, il est fait mention d’un suicide d’agriculteur tous les deux jours en France. Après le film, l’auteur corrige ses informations de la Mutuelle Agricole. Actuellement, c’est un suicide par jour.
Bonneville