Vivant dans l’insouciance, nous croyons que la surconsommation tous azimuts nous procurerait le bonheur. Faisant fi du climat, nous dépensions plus pour nos voyages, notre habillement que pour notre nourriture. Soudain, un minuscule virus est venu nous faire réfléchir tout en nous rappelant ce vieil adage romain « primum vivere ». Abasourdis, nous découvrions la pandémie, la pénurie de masques, de gel hydro- alcoolique, de respirateurs… et le décès de nos aînés.
Heureusement les agriculteurs avaient eu la sagesse de prévoir des stocks de blé, beurre,...
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