Dans la lutte contre les insectes ravageurs des cultures, l’usage d’insecticides s’est développé fortement après la deuxième guerre mondiale. Mais à côté de son efficacité, cette stratégie a rapidement montré des limites et des inconvénients : persistance dans l’environnement, apparition de résistance, spectre d’action trop large par exemple.
La nécessité est apparue de développer d’autres stratégies de lutte, notamment en intervenant dans les systèmes de communication entre insectes. La plus étudiée est le message chimique par...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique