De nos jours, quelques simples bonnes tartines peuvent paraître coûteuses pour les moins bien nantis de chez nous. Malgré cela certains élus, se prétendant défenseurs des moins favorisés, risquent par leur politique de faire encore monter le prix du pain, cette nourriture de base.
Voici l’une ou l’autre de leurs « bonnes » idées : ils voudraient obliger les agriculteurs à sacrifier 4 % de leurs terres pour en faire des zones vertes non productives alors que certains risquent de manquer de blé ! Si cela n’était pas suffisant, cette nouvelle obligation pourrait ne pas être subsidiée comprimant encore l’insuffisant revenu des agriculteurs.
Selon certaines sources, d’autres propositions auraient été émises concernant ces 4 % qui pourraient aussi être occupés par des cultures imposées. Celles-ci ne pourraient être protégées par des produits phyto et devraient donc être désherbées par des pauvres indiens, roumains… à des prix n’intéressant pas nos nombreux demandeurs d’emploi bien au courant que la terre est basse.
Dis-moi Céline, les journées ont passé
Pourquoi n’as-tu jamais pensé à te ranger ?
Des agriculteurs qui vivaient ici
Essaie de t’en faire des amis.
Non, non, non ne rugis pas, non ne rugis pas
Tu as, tu as toujours des yeux bleus
Non ne rugis pas, non ne rugis pas
Tu aurais pu nous rendre heureux.
Dis-moi Céline, qu’est-il donc devenu
Ce joli champ de blé qu’on n’a jamais revu
Est-ce pour nous affamer
Que tu l’as laissé s’enherber ?
Non, non, non ne rugis pas, non ne rugis pas
Tu as, tu as toujours des yeux bleus
Non ne rugis pas, non ne rugis pas
Tu pourrais nous rendre malheureux
Dis-moi Céline, toi qui es notre élue
Toi qui fus notre ministre, toi qui as milité
N’as-tu vécu pour toi autrefois
Que sans jamais penser à nous ?
Ne pleure pas, non ne pleure pas
Tu as, tu as toujours des yeux bleus
Ne pleure pas, non ne pleure pas
Resterons-nous toujours près de toi ?
Meux