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Dès l’entame de la saison,

les nerfs des patatiers

ont été mis à rude épreuve

Cette année, les pluies auront été à la fois les alliées et les ennemies des producteurs de pommes de terre. Retardant les plantations tout d’abord, elles sont tombées à point nommé en juillet, alors que la sécheresse sévissait depuis plusieurs semaines. Mais l’excès d’humidité a également été favorable au mildiou… Les sources de stress ont donc été nombreuses, dans un contexte économique où la quasi-pénurie de tubercules s’est fait ressentir.

Vivra-t-on encore une saison normale ? », s’interroge-t-on de plus en plus fréquemment dans les fermes. La Fiwap, elle aussi, se pose la question et livre ses premières observations sur cette campagne particulière, tant sur le plan cultural qu’économique, l’un n’étant pas sans impact sur l’autre.

Du jamais-vu, dès la plantation

Et Daniel Ryckmans de détailler : « Par rapport à la moyenne des cinq dernières années, les pommes de terre ont été plantées avec environ trois semaines de retard ». Le...

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