
Lourd, encombrant, le bois de chauffage exigeait de la main-d’œuvre et de la place pour son stockage. Il n’était donc pas un combustible commode pour les locataires des « appartements » de l’époque, souvent réduits à vivre dans une seule pièce. On substituait donc aux bûches une forme d’énergie plus concentrée, de taille plus réduite, dont la combustion était facile à maîtriser, les fumées n’étaient, quant à elles, ni trop salissantes, ni trop incommodantes.
Le charbon de bois
C’est de la simple observation de...
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