On peut déduire deux choses importantes de ce nouvel arrêt. Premièrement, la présomption juris et de jure de responsabilité, dérogatoire au droit commun, dans le chef du titulaire d’un droit de chasse ou du propriétaire d’une parcelle boisée, survit à ce contrôle de la Cour constitutionnelle. Deuxièmement, la jurisprudence de la Cour de cassation dit que les règles de réparation des dégâts causés par le gros gibier valent également pour les terrains non-agricoles.
La loi du 14 juillet 1961
En 1961, le parlement fédéral a...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique