Au mois d’août, Mika Vuorinen, engraisseur de porcs, a reçu 1,60 €/kg de carcasse. Le marché se redresse. À un certain moment, il a dû se contenter de moins de 1,40 €/kg de carcasse. Avant l’embargo russe, le prix était de 1,80 €/kg.
Comment Mika tient-il le coup dans un marché aussi volatil ? « Il n’y a qu’une solution ! », explique-t-il. « Pour passer les années difficiles, il faut trouver d’autres occupations. Personnellement, j’utilise mes machines agricoles pour récolter de la tourbe, et dans le...
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