Traîtrise, coup de grâce, ignominie, forfaiture, lassitude, abattement, nausée… les mots, les sentiments manquent pour décrire l’écœurement qui nous a saisis jusqu’aux tripes, au moment où tombait l’annonce de l’affaire Veviba, ce nouveau « scandale alimentaire » dû à l’action frauduleuse menée par un industriel en aval de l’élevage bovin. Cette crise n’aura finalement pas de conséquences sanitaires graves, et heureusement si on ose utiliser cet adverbe en d’aussi funestes circonstances, mais elle jette une nouvelle fois le...
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