Si l’abus d’antibiotiques est régulièrement pointé du doigt en Belgique, médecins et patients ne sont pas les seuls responsables du développement de bactéries résistantes. « Les résultats de l’étude de Solidaris sont assez satisfaisants parce qu’ils montrent qu’un réel changement de mentalité s’opère, se réjouit Bernard Vandercam, professeur spécialiste des maladies infectieuses à Saint-Luc. Mais il ne faut pas perdre de vue la consommation d’antibiotiques en milieu vétérinaire, qui est un gros facteur de risque. La consommation y est nettement supérieure à ce qu’on...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique