« Pas sans Sandrine »

Éleveur de Holstein et de Blanc-Bleu dans la province Liégeoise, Éric a toujours été tenté par l’émission de téléréalité. Sa sœur l’y a inscrit et il a sauté sur l’occasion. Comme ses collègues, à l’heure et les tournages s’achèvent, il se dit enchanté de l’expérience.

Des angoisses pour la suite ?

Évidemment un peu. On ne s’inquiète pas de ce que vont penser les gens mais de comment vont être présentées les choses. On le découvrira en même temps que les spectateurs.

Comment se déroulait une journée type de tournage ?

C’est simple, on était filmé du matin ou soir, durant 4 à 6 jours. Mais les équipes s’adaptaient à nos activités et notre emploi du temps pour que ça se passe au mieux. Sandrine faisait également tout ce qu’il fallait pour nous mettre à l’aise. Sans elle, l’émission n’aurait clairement pas le même succès.