Quatre projets concernent directement la santé végétale tandis que d’autres encore sont liés à la sécurité alimentaire. Ils viseront à déterminer l’impact sur la santé des perturbateurs endocriniens et composants d’encres et de colles présents dans l’alimentation.
« Les maladies animales et végétales représentent une menace. Une menace pour la santé humaine, du fait de maladies telles que la salmonelle ou la listériose. Mais aussi une menace pour des pans entiers de notre économie. La recherche scientifique a donc un rôle essentiel à jouer. Avec cette enveloppe de 2,4 millions d’euros, nous contribuons d’abord à permettre aux secteurs de mieux lutter contre les maladies animales. Nous leur permettons aussi de mieux anticiper le risque généré par ce type de maladies », a commenté le ministre fédéral de l’Agriculture, Denis Ducarme, à l’issue de la sélection des projets.