Issu d’une grande famille, Stéphane Feys n’était pas prédestiné à reprendre la ferme familiale. Fin des années 80, lui et sa femme investissent dans une petite ferme mixte aux bâtiments exigus. « Nous devions investir pour faire face aux charges. Nous avons opté pour le lait et sa recette mensuelle. »
Des débuts à tâtons
On est en 1986, au moment du début des quotas. « Nous avancions par tâtonnements, en produisant des petits volumes dans toutes les spéculations. »
C’est par le biais de revues, de...
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