Les premiers résultats de l’étude Propulppp sur les dérives de produits phytopharmaceutiques ont été publiés récemment. Si pour d’aucuns ils jettent un pavé dans la mare, à mon humble avis, les chercheurs en charge de cette étude sont des enfonceurs de portes ouvertes, qui ne font que confirmer ce que l’on savait déjà.
En tant qu’ancien agriculteur et pour avoir pulvérisé pendant des dizaines d’années, j’ai pu de la sorte exercer ma mémoire olfactive ; il m’est ainsi possible de reconnaître à l’odeur un certain nombre de produits, ou familles de produits...
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