Quelque 15 éleveurs (contre 3 en 2011 et 6 en 2017), dont 6 Flamands, y ont inscrit près de 80 bêtes ! Malheureusement, seules une cinquantaine de bêtes pourront entrer dans le Palais 1. Si tous les éleveurs seront présents, ils le seront avec moins d’animaux. « L’engouement des éleveurs se ressent ! C’est important ! Nous sommes un petit noyau d’éleveurs solides et dynamiques. »
« En tant qu’éleveurs, nous sommes toujours heureux de pouvoir présenter nos animaux devant un visitorat toujours plus nombreux. Si on perd le public du rameau viandeux, on gagne celui de la Holstein. On pourra également apprendre énormément sur la manière de préparer une laitière. Nous avons très peu d’expérience en la matière », se réjouit Michel.
«Concourir le vendredi, c’est aussi se démarquer du rameau viandeux. Tant les consommateurs que les professionnels de l’horeca ne connaissent pas la différence entre une mixte et une viandeuse. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous cherchons une appellation différente qui fédère mais on coince encore ! »
Avoir un animal équilibré
Lors du concours, 8 séries de vaches et une série de taureaux sont programmées. Les animaux seront répartis entre deux branches : les mh/mh et les mh/+.
« Bien que l’on doive juger un animal dans son ensemble, nous accorderons beaucoup d’importance à la qualité des pis, car c’est un problème en mixte. »
« Ce que l’on recherche ? Une belle ligne de dos, de la finesse tant au niveau des os, que du cuir, une belle expression, des jarrets parfaits, une attache de queue bien dégagée… un animal harmonieux en somme ! »