wallonnes pourraient déjà adhérer à une stratégie
de tarissement sélectif
« Si l’on veut tarir de façon sélective ses vaches, c’est assez simple. Il suffit d’avoir moins de 250.000 cellules, pas de streptocoque agalactiae dans le tank et pas de problème de santé mammaire sur des périodes à risque spécifiques », synthétise non sans humour Léonard Théron, vétérinaire. « La réalité du terrain est évidemment bien plus complexe. Ce sont les 3 aspects qu’il faut avoir validés avant de se lancer dans l’aventure. »
Aujourd’hui, près de 50 % des élevages bovins wallons peuvent s’ouvrir à la...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique